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Affichage des articles du novembre, 2016
Loi SRU : lancement de la plateforme www.transparence-logement-social.gouv.fr Loi SRU : lancement de la plateforme www.transparence-logement-social.gouv.fr Logement social Publié le vendredi 18 novembre 2016 Le ministère du Logement a lancé, le 17 novembre, la plateforme numérique www.transparence-logement-social.gouv.fr pour permettre aux citoyens de "tester", avec un moteur de recherche simplifié, le respect des obligations en matière de logement social dans toutes les communes au titre de la loi SRU. "Tester", mais aussi apporter des éléments au débat. Si la commune respecte la loi SRU, le message suivant apparaît : "Ma commune remplit en 2015 ses obligations en matière de logements sociaux". Il est alors proposé d'accéder à des données sur l'offre et les attributions de logement social : nombre de logements sociaux selon leur taille (dans la commune et selon les bailleurs), nombre de demandes en attente
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INDECOSA-CGT     En France, ce sont 11 millions de personnes qui sont en précarité énergétique. Celle-ci résulte de la combinaison de trois facteurs principaux à savoir la vulnérabilité des ménages engendrée par la faiblesse de leurs revenus, la qualité thermique déficiente des logements et le coût de l’énergie (gaz, électricité, fioul…). C’est donc sur ces 3 facteurs qu’il faut agir réellement pour l’éradiquer. Pour la CGT avec son association de consommateurs, le droit à l’énergie est un droit fondamental et aucun citoyen ne doit en être privé quelle que soit la période de l’année, pour cela, nous exigeons : ·       le maintien des tarifs sociaux électricité et gaz, avec une augmentation significative de leurs montants afin de répondre efficacement au droit à l’accès à l’énergie, droit fondamental pour la vie. Le chèque énergie pourrait être réservé aux autres sources de chauffage. ·       une énergie reconnue comme produit de première nécessité, bénéfician
La Cop22 De l’effervescence de l’accord de Paris aux réalités politiques                                   Après l’adoption de l’accord de Paris lors de la Cop21, la Cop22 devait aborder la mise en œuvre des règles de son application pour maintenir le réchauffement climatique en deçà de 2°C et assurer son financement à hauteur de 100 milliards de dollars par an. L’accord de Paris sera effectif à partir de 2020 et les règles qui le régissent devront être finalisées en 2018. A ce jour, 112 Etats, sur 197 de la Convention des Parties, ont ratifié l’accord. Répondre aux enjeux climatiques et environnementaux dépend évidemment des volontés politiques et plus particulièrement de celles des pays développés qui, d’une part, portent une responsabilité dans la situation et, d’autre part, détiennent capitaux et technologies permettant d’impulser une réelle transition écologique. L’élection de Donald Trump, climato-sceptique déclaré, soulève des inquiétudes sur la suite du processus et du
Turquie Les organisations syndicales françaises alertent sur la situation en Turquie                         Face à la gravité de la situation en Turquie, les huit organisations syndicales nationales françaises - CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, FSU, Solidaires et UNSA – ont élaboré ensemble un courrier remis à Monsieur Jean-Marc Ayrault, ministre des Affaires étrangères, et une lettre de protestation à Monsieur Ismail Hakki Musa, nouvel ambassadeur de Turquie en France. Elles s’inquiètent notamment des purges collectives et des licenciements massifs par décrets qui concernent déjà plus de 100 000 personnes. Dans leur déclaration commune, les huit organisations syndicales affirment : « Les autorités bafouent sciemment la Constitution en vigueur, se livrant à une entreprise de musellement de toute opposition. L’Etat de droit est en train de disparaître, au profit de l’instauration de ce qu’il faut appeler par son nom : une dictature. Aucun critère ne peut justifier ces purges colle
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                                                 congres des territoriaux du 17 au 18 novembre 2016 de la ville d'Argenteuil                                   
2 ans de concertation pour rien Le gouvernement a mis en place en novembre 2014 un groupe de dialogue sur les discriminations, composé des organisations syndicales et patronales et des associations de lutte contre le racisme et les discriminations. La CGT, avec l’intersyndicale et les associations, a fait 4 propositions simples et déterminantes pour lutter contre les discriminations, reprises pour l’essentiel dans les 2 rapports de la concertation. Ces propositions ont été balayées d’un revers de main par le gouvernement, mercredi 16 novembre dernier, lors de la remise du rapport. Ainsi, cédant à la pression du patronat, Myriam El Khomri et Patrick Kanner se sont contentés d’annoncer des chartes de bonnes pratiques, des expérimentations et de nouveaux rapports… Alors que l’ampleur des discriminations sexistes et racistes a été confirmée par le Défenseur des droits et France Stratégie et qu’elles menacent directement le pacte républicain, ces annonces sonnent comme une provocation. C
N’opposons pas les misères, combattons-les ! La France, 6ème puissance économique mondiale, n’aurait pas les moyens de traiter dignement ses populations les plus fragiles, comme celles qui cherchent l’accueil pour des questions économiques, politiques, familiales, de survie… parce qu’elles fuient les guerres. Nous assistons actuellement à des débats nauséabonds et populistes dont la violence des propos, à l’encontre des plus fragiles socialement, attise les tensions sociales et tente de mettre en opposition les populations. Par nature, notre société n’est pas violente, ce sont les discours et les actes politiques qui déterminent sa nature. La Direction confédérale de la CGT réaffirme le besoin de mettre au cœur des débats et des enjeux de la période la question de l’humain et de la dignité humaine. Comment admettre et tolérer que notre pays, à l’histoire sociale riche de sa capacité d’accueillir et d’intégrer de tout temps des populations venues chercher en France un av
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lections dans les TPE Un comble : une décision de justice valide l’incitation à la discrimination ! mercredi 9 novembre 2016 Les confédérations syndicales CFDT, CGT, FO ont attaqué devant la justice la décision de la Direction Générale du Travail de valider la candidature du syndicat des travailleurs corses au niveau national interprofessionnel. La CFE-CGC s’était, elle aussi, portée intervenante volontaire. Le Tribunal d’instance de Paris a débouté les confédérations de leur demande alors que le jugement relève la nature discriminatoire, pour l’ensemble des salariés, des propos et revendications de ce syndicat ; comme le relevait, déjà, le Défenseur des droits ! La CGT a décidé de poursuivre cette action en justice. Les pressions du gouvernement n’y changeront rien. En effet, depuis 2 jours, l’exécutif agite la menace d’un report des élections TPE du fait de ce recours. Or, il est très clair que la CGT tient particulièrement à ce scrutin essentiel aux 4,6 millions de sal